Le photographe italien réalise depuis près de dix ans une vaste enquête photographique sur le système de l’esclavage et sa mémoire active. Bénin, Guyane ou Cuba, il a voyagé dans de nombreux pays à la recherche de communautés qui célèbrent cette histoire douloureuse dans des pratiques inédites, en résistance à l’oppression. Il réunit ce vaste parcours à travers le monde dans un travail intitulé le « projet Cham » en référence au terme « noir » employé par les Égyptiens, puis réutilisé par les esclavagistes. Entretien avec Nicola Lo Calzo.
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