Quand de jeunes photographes marrons s’emparent de leur propre histoire

Dans l’exposition « Marronnage, l’art de briser ses chaînes » présentée à la Maison d’Amérique latine, une section consacrée à la photographie s’intéresse aux jeunes artistes marrons qui s’emparent de leur propre histoire.

Ma Atema, obiaoeman, 2019 © Karl Joseph
« Partout, dans tous les pays où les bateaux négriers les ont conduits de force, des esclaves se sont enfuis. Ils sont appelés esclaves marrons. On dit qu'ils sont partis en marronnage, du mot espagnol cimarrón...

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