Le photographe présente ses clichés de lieux en déshérence à la galerie Esther Woerdehoff à Paris. Une déambulation dans des paysages sauvages où la nature reprend ses droits tandis que des palais dévastés par le temps se fanent comme des fleurs fragiles. Thomas Jorion a répondu à nos questions.
Vous avez perdu la vue.
Ne ratez rien du meilleur des arts visuels. Abonnez vous pour 9$ par mois ou 108$ 90$ par an.
Déjà abonné ?